moniquetdany

Un jardin extraordinaire

Bon enfant et tout sourire,

 

bouche fleurie, oeil maquillé

 

ou  arborant un couvre-chef extravagant

 

 

les gardiens de ce lieu vous indiquent de leurs bras tendus

 la marche à suivre

pour ne pas s'égarer dans ce jardin extraordinaire...  

aux essences variées

 

et au décor si agréablement zen...

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Certains l'auront compris, c'est ICI

Vol d'essai

 

...ou tombé du nid?

Le p'tit oiseau est sorti mais il fait grise mine!

 

Polly Magoo

...qui êtes -vous?

                                                Devanture d'un café, rue St -Jacques à Paris

 

... l'héroïne d'un film-culte des années de ma jeunesse. C'était en 1968, une satire percutante du monde de la mode. Séquences-nostalgie ...

Les murs ont la parole

Les murs sont le miroir des états d'âme  inattendus parfois.  Certains auteurs y dépeignent leur mal-être

tandis que d'autres y placardent  leur bonne humeur..!!!

Toi, le venin

 

...mis en scène à Paris mais où ?

Western

 

Je vous invite à enfourcher vos montures...

 

 

 

pour une chevauchée fantastique...

 

 

  

en compagnie des soeurs Dalton...

                                                

 

sur les sentiers poussiéreux du Far West!

                       

 

Maternités...

...un monde d'amour et de tendresse. Dandylan en a parlé et je confirme: C'est une très belle exposition  qui a trouvé asile dans l'ancien réfectoire du couvent des Cordeliers, un havre de tranquillité et de sérénité, idéal pour une telle manifestation. Cinquante oeuvres, sculptures, peintures et photographies venues de lieux et d'époques diverses illustrent le thème de la mère et de l'enfant. Des vierges à l'enfant du monde occidental côtoient des guanyin chinoises, des maternités africaines, népalaises et précolombiennes. Des oeuvres superbes, très bien mises en scène par la musique discrète et les jeux d'éclairage subtil . Une exposition gratuite à ne pas manquer!

 

 

 

 

   

  

Les oeuvres de  Sandra Martagex aux pigments ocres  et au graphisme épuré m'ont beaucoup plu ainsi que les photographies de Patrick de Wilde qui complètent avec bonheur cette très belle exposition.

La campagne à Paris

Avec ce gros bouquet de fleurs printanières, c'est une parcelle de son jardin et beaucoup de soleil qui se sont installés sur mon balcon...Encore MERCI, mon Alter!

 

 

 

Quant au petit sumac, l'air de la capitale semble lui réussir. Il ne s'est pas écoulé un mois depuis la photo que vous pouvez découvrir en cliquant sur le nom...Impressionnant, non ?

 

Ciel, mon Paris

...ce matin, au petit jour. Tee-shirt ou anorak, j'hésite...

 

 

Mais lorsque  les avions décrivent de jolies courbes dans un ciel serein, l'envie me saisit alors de prendre la tangente...

A votre service!

Je passe commande: Un petit blanc pour Monette

 

  

et pour José, une petite mousse...Tchin!

  

Nectar des dieux

 

Dans votre verre tulipe, préférez-vous du rouge...

 

 

ou du rosé?

 

 

Portraits d'artistes

...plus vrais que nature ou quand celle-ci  est revue et corrigée par Francis Bacon...

 

 et Pablo Picasso!

 

 

No, they cannot!

 

Prisonniers, les petits  canots  du bois de Boulogne aimeraient bien prendre le large!

 

 

            

  

Canotage en famille...

 

...premières leçons!

 

 

 

 

 

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Rencontres sur la pelouse

 

Au printemps, quand le soleil est au rendez-vous, on rencontre de drôles d'oiseaux dans le parc de Bercy...

des oiseaux au plumage délicatement coloré...

 

Mais le phénix des hôtes de ces lieux, c'est lui!

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   quand M Et

Si pénétrer dans le cercle très fermé de  certains n'est pas chose facile, on peut échanger quelques cancans, à condition bien sûr de garder ses distances. Et quand on a la chance d'être entourée d'une cour d'admirateurs aussi vigilants,

 

on peut  en toute confiance se dorer au soleil
 

 

et même s'abandonner aux délices d'une petite sieste!

 

Henri-Cartier Bresson, à vue d'oeil

A l'occasion de l'anniversaire de la naissance du photographe, la Maison Européenne de la Photographie ouvre ses portes sur une très belle exposition. Les trois cent vingt photos présentées sont issues des archives de la MEP. Dans des jeux d'ombre et de lumière superbes et des cadrages irréprochables, elles révèlent  de façon magistrale tout l'art de ce magicien  de la photographie qui souhaitait "mettre sur une même ligne de mire la tête, l'oeil et le coeur."

 

                          

Des films complètent la visite le samedi et le dimanche à 15H.

L'exposition se poursuit pour notre plus grand plaisir avec le photographe italien Riccardo Zipoli qui  présente "Venise aux fenêtres". Une vision de la ville reflétée dans les vitres de ses fenêtres, vision magique, étonnante et éphémère qui suscite l'imaginaire. Chaque photo est accompagnée de poèmes persans sur le thème du reflet dans un miroir. Vous l'aurez deviné, j'ai tout simplement adoré!

 

 

"Etats de grâce" de Gérard Uféras  met en scène les coulisses des opéras, des défilés de mode et du Ballet de Paris.  Dans l'intimité des mannequins, des ballerines et des cantatrices, une vision féérique et sublime d'un monde à la fois médiatique et secret. Superbe aussi!

 

              

C'est un tout autre monde que nous présente le reporter-photographe Laurent Van der Stockt avec "Our Fellow Man". Des conflits en Bosnie, en Tchétchénie et en Irak, il nous rapporte une vision  pleine d'humanité au travers de portraits d'hommes et de femmes,en suggérant plus qu'il ne montre toute l'horreur de la guerre. Un grand photographe!

           

             

Pour terminer, "Statuaire" de François Fontaine  présente une série de statues de Christ au réalisme tragique photographiées dans des églises et des musées brésiliens. Une autre série s'attache à sublimer les statues de la capitale dans des éclairages, des jeux d'ombres et des floutages qui les métamorphosent en personnages et animaux mystérieux. J'ai été moins sensible au travail présenté  ici mais l'exposition dans sa globalité mérite  vraiment la visite.

                                        

* cliquer sur les noms des artistes

C'est jusqu'au 30 août. Renseignements ICI

Mon copain, le héron

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Un petit courant d'Eire

En passant devant ce pub, le souvenir de nos années vélo à travers l'Irlande des années 80 m'a envahie et les ballades que nous écoutions le soir dans les singing pubs résonnent encore dans mes oreilles. Séquence nostalgie...
 

 

 

Le faubourg Saint-Antoine

 

Un peu d'histoire: Le quartier doit son nom à l'abbaye de Saint-Antoine-des-Champs fondée au 12° siècle. Au  15° siècle, ce couvent de femmes bénéficia d'un  rare privilège octroyé par le roi qui libéra les artisans du contrôle des corporations. Ils purent ainsi développer en toute liberté des techniques nouvelles comme la marqueterie pour les ébénistes. En 1700 on comptait 500 menuisiers et 400 ébénistes. La prospérité dûe aux nombreuses commandes de meubles de la part de l'abbaye et de la Cour s'étendit également aux ateliers de faïence, de textile, de fonderie.Quartier populaire et industrieux, le faubourg fut au 19°siècle l'un des bastions des révoltes parisiennes.

 

 

Autre temps, autres moeurs...

Dans les passages et les arrière-cours qui bordent la rue du Faubourg St-Antoine, les ateliers des ébénistes disparaissent peu à peu pour céder la place à des ateliers d'artistes, des studios de photographes, des agences d'architecture...

 

  

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Mais la réhabilitation  de ce patrimoine industriel permet au promeneur de rêver encore à la gloire passée de ce quartier immortalisé par l'écrivain Jean Diwo dans sa trilogie "Les dames du faubourg"...

  

A la naissance d'une feuille verte

...deux escargots se camouflaient...

   Pour vivre heureux vivons cachés!

  

Mais rendons à l'autre Jacques ce qui lui appartient!

A l'enterrement d'une feuille morte
Deux escargots s'en vont
Ils ont la coquille noire
Du crêpe autour des cornes
Ils s'en vont dans le soir
Un très beau soir d'automne
Hélas quand ils arrivent
C'est déjà le printemps
Les feuilles qui étaient mortes
Sont toutes ressuscitées
Et les deux escargots
Sont très désappointés
Mais voila le soleil
Le soleil qui leur dit
Prenez prenez la peine
La peine de vous asseoir
Prenez un verre de bière
Si le coeur vous en dit
Prenez si ça vous plaît
L'autocar pour Paris
Il partira ce soir
Vous verrez du pays
Mais ne prenez pas le deuil
C'est moi qui vous le dis
Ça noircit le blanc de l'oeil
Et puis ça enlaidit
Les histoires de cercueils
C'est triste et pas joli
Reprenez vos couleurs
Les couleurs de la vie
Alors toutes les bêtes
Les arbres et les plantes
Se mettent à chanter
A chanter à tue-tête
La vraie chanson vivante
La chanson de l'été
Et tout le monde de boire
Tout le monde de trinquer
C'est un très joli soir
Un joli soir d'été
Et les deux escargots
S'en retournent chez eux
Ils s'en vont très émus
Ils s'en vont très heureux
Comme ils ont beaucoup bu
Ils titubent un petit peu
Mais là-haut dans le ciel
 La lune veille sur eux.