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Qui me dira l'auteur de cette charmante sculpture, au métro Sully Morland ?
« Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes
Et les ressacs et les courants, je sais le soir,
L’aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes,
Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir ! »
Arthur Rimbaud, le bateau ivre
Hôtels du Marais: Rohan Soubise
Dans une petite cour de l'hôtel de Rohan, ce superbe haut-relief du 18°siècle nommé aussi les chevaux du soleil ( qmjd, ils caracolent sur les murs, à Paris), oeuvre de Robert le Lorrain, surplombe la porte des anciennes écuries . L'hôtel de Soubise, quant à lui, abrite les Archives Nationales et possède derrière ses murs bien d'autres splendeurs à découvrir...(voir adresse) 
(images cliquables) http://www.parislemarais.com/visiter/musee_histoire.php
Rare maison à colombages, datant du Moyen Age, encore visible à Paris. Elle se trouve rue François Miron dans le 4°arrondissement.
Plus loin, dans cette même rue, le somptueux hôtel de Beauvais du 17°siécle, longtemps à l'abandon, vient d'être restauré. Demeure historique qui, avec Anne d'Autriche et la Cour, vit passer sous ses balcons le cortège nuptial des époux royaux, Louis XIV et l'infante Marie-Thérèse. Mozart y séjourna lors de son premier voyage à Paris. Aujourd'hui propriété de la ville, ce petit chef d'oeuvre d'architecture abrite la Cour Administrative d'Appel de Paris. 
Et un peu plus loin, encore un autre très bel hôtel particulier, dans cette même rue François Miron.
images et mots...chacun son rêve (cliquer)
Et découvert sur la toile, leur site
http://vlpblog.zeblog.com/ Bonne balade virtuelle...
Hier mercredi, après-midi ensoleillé et bien chaud pour la saison. Un avant-goût de vacances estivales. Pour se rafraîchir un peu, récréation les pieds dans la pièce d'eau très ludique de la place Igor Stravinski, à deux pas de Beaubourg. Les sculptures de Niki de St Phalle et les machines de Jean Tinguely s'arrosaient mutuellement sous les yeux amusés des petits et grands qui s'amusaient à les imiter.Julie et Aegean, sûr que vous auriez aimé ces grabouillages! Et le pot sans fleurs de Jean Raynaud, tout seul la-haut, perché sur son piédestal, aurait bien voulu participer à cette petite fête. Un pot de terre et un pot d'eau, un pot c'est tout pour une fleur!
(images cliquables)
Nouvelles rencontres vachement amusantes hier après-midi dans les rues de Paris. Dans le quartier des Halles et dans le Marais, elles s'étaient mises sur leur trente et un pour nous séduire.Voici donc la rêveuse, la joyeuse et l'enfantine, la vach
e française, l'andalouse
et l'américaine.Ces sympathiques vachettes s'exposent dans Paris jusqu'au 26 juin. Quelques privilégiées auront ensuite l'honneur d'être vendues aux enchères au bénéfice d'oeuvres caritatives. 
D'où viennent-elles toutes ces fleurs qui volent dans le ciel et qui semblent se reposer sur les bancs publics? En levant les yeux, les arbres sont pourtant toujours aussi fleuris!Elles sont si lumineuses qu'elles en font pâlir de jalousie les réverbères!
Roses, blanches ou multicolores, venues d' ICI , de LA ou bien d'AILLEURS , les fleurs ont encore de beaux jours devant elles!
Les belles demeures de l'île St-Louis datent du 17°et 18°siècles et sont ornées de balcons de fer forgé et de mascarons.Certaines portent des plaques commémoratives en hommage aux personnages célèbres qui les ont habitées. L'une d'entre elles m'émeut particulièrement, celle dédiée à Camille Claudel qui travailla et vécut là, au fond d'une cour insalubre. Sur cette plaque sont gravés ces mots adressés à Auguste Rodin:"Il y a toujours quelque chose d'absent qui me tourmente."
Et je songe au très beau livre d'Anne Delbée "Une femme" ...
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