ou l'art d'arroser son jardin en respectant la planète...réalité ou utopie?
(rue Montmartre, près du palais Brongniart)
PS: coup de chapeau au banquier bangladais, Mohamed Yunus, qui vient de recevoir le prix Nobel de la paix pour son aide aux plus démunis...
http://permanent.nouvelobs.com/etranger/20061014.OBS5621.html
Emoi sans son toi(t), comme aurait pu dire Jacques...
(rue Bourgon, 13°)
pour éclairer peut-être ceux qui sortent du mur des vanités! J'ignore s'il clignote la nuit...
(rue des Cordelières 13°)
jusqu'à la lie?... Et vlan dans l'mur!
rue des Gobelins Paris 13°
( même rue )
Les vacances sont finies, et pour Miss' Tic aussi, car dès ma première balade dans le 13°, sa silhouette familière me fait signe à l'angle d'une rue qu'elle n'avait pas encore empruntée avant mon départ. Sacrée nana, cette Miss Tic, qui semble jouer à cache-cache avec moi, me surprenant là où je ne l'espère pas, taguée méchamment là où sa silhouette devenue familière déplaît à certains barbouilleurs de murs. Une fille comme elle, ça ne se dépeint pas et quand on ne veut pas d'elle quelque part, elle fleurit ailleurs , accompagnée parfois de ses petits copains, pour mon plus grand bonheur.
Rue Gustave Geoffroy, Paris 13°
petit clin d'oeil à Eden (pull et titre)
Est-il urgent d'attendre? Peut-être, tout dépend des circonstances...car attendre aux Urgences quand il y a urgence, n'est pas la meilleure des réponses ...!
Agir ou attendre...? Réfléchir ou agir? Tout dépend des circonstances...car les bonnes occasions, elles, n'attendent pas toujours dans les paniers soldés!
Mais plus sérieusement, en cette période caniculaire où les murs réfléchissent surtout la chaleur, la question et la réponse concernant l'avenir de notre planète se trouve peut-être ICI...( pour le cri d'alarme ce qui ne constitue pas pour autant un engagement politique...)
Intéressant sujet de dissertation pour un bac à venir...
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)
Depuis quelques temps, elle se dessine sur les murs de mon arrondissement, elle m'attend au coin des rues, elle surgit brusquement, là, sur ce vieux mur délabré qui n'avait hier encore qu'un jeune arbuste pour compagnon. Bref, aprés avoir décoré d'autres quartiers de la cité, Miss Tic débarque en force dans mon quotidien au point que je me posais cette question qui me fait accélérer les pulsations du coeur: habiterait-elle le 13°? La réponse est ici. Merci à Dandylan d'avoir découvert pour moi son atelier . Un sacré tempérament, une super nana, ma Miss Tic, muse de ma cité, non ...?
Rencontré ce jeune singe sur les murs de mon quartier, à Paris. Il me rappelle un certain Jo dont j'ai fait la connaissance ICI. Un petit air de famille, non ?Son fiston peut-être?...
Et ne comptez pas sur moi pour divulguer le moindre pronostic sur les chances de la France d'atteindre le Paradis même si le nom de la rue se prête aux paris!...
http://www.col-camus-soufflenheim.ac-strasbourg.fr/Page.php?IDP=489&IDD=0
car je n'ai jamais réussi à comprendre la démonstration. Faut dire que les maths et moi,on n'est pas passés par la même porte...
Les commentaires récents