Aux heures chaudes de l'été, j'aime venir m'asseoir à l'ombre des pins maritimes, là où la rivière et l'océan mêlent leurs eaux, face à la pointe de Combrit. Derrière l'écran des arbres centenaires, on se croirait presque dans une estampe japonaise. Alors, assise sur le petit banc de pierre, je contemple inlassablement le ballet des voiliers qui entrent au port ou bien en sortent.
(Charles Filiger, école de Pont Aven)
Et lorsque le soleil déclinant teinte de rose et de mauve le paysage, je réalise tout étonnée, qu'il est temps de rentrer.
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