Il pleuvait, il ventait ce jour-là à Biarritz! Un temps à visiter les musées où à se réfugier dans un endroit sec pour y déguster quelques macarons et "mouchous" dont la ville a le secret! Bref, un temps pourri pour les promeneurs, un temps à ne pas mettre un chat dehors. Un temps où l'on pense avec compassion aux marins-pêcheurs contraints de sortir en mer. D'ailleurs, seuls de rares touristes en quête de sensations fortes et quelques hirondelles en robe noire erraient sur la promenade. Oui, un temps maussade et venteux mais idéal pour les surfers et les photographes "pro" venus faire quelques clichés exceptionnels. Mon clic-clac excité comme une puce, n'a pas hésité à leur emboîter le pas.
Avec courage, nous affrontons le front de mer. Ravi par la beauté des éléments en colère, mon APN ne sait ou tourner son regard car entre les les baigneurs, les surfers et les vagues qui viennent nous lécher les pieds, il est complètement débordé...
Comme pour tout, il y a les pros et les amateurs, mais l'essentiel n'est-il pas de prendre son plaisir? Téléchargement P1050597.MOV
Juqu'ici, tout va bien mais c'est là que les choses se compliquent...
Il nous faut franchir l'obstacle entre deux vagues, pour pouvoir poursuivre notre chemin.
Mais la visibilité étant nulle, sur combien de mètres faudra-t-il courir avant que ne s'abatte sur nous le prochain déluge?
Après quelques essais timides et infructueux peu appréciés de mon clic-clac qui déteste l'eau et encore plus quand elle est salée,
nous renonçons à jouer les sous-marins et faisons machine arrière en jetant un dernier coup d'oeil admiratif aux surfers.
Au revoir Biarritz, on reviendra au prochain rayon de soleil!
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